Il est temps que l’on rompe avec le pes- simisme et le fatalisme qui caractérisent trop souvent les divers mou- vements sociaux. Quand on ne fait rien, on ne gagne rien, et cela ne profite qu’à ceux qui en ont déjà bien assez!

On a besoin d’un mouvement qui prenne l’offensive et qui se batte pour les besoins des tra- vailleuses, des travailleurs et des sans- emplois.